Des révisions ludiques grâce aux sacs de révisions des conjugaisons

Des révisions ludiques grâce aux sacs de révisions des conjugaisons

Tout au long de l’année, nous évaluons nos élèves. Les évaluations sommatives arrivent souvent en fin ou en début de période. Même si nos enfants apprennent au fur et à mesure leurs leçons, cela n’est pas évident pour eux de réviser une masse de notions dans un temps défini. Parfois, il faut qu’ils connaissent par cœur la leçon mais la mise en application de cette dernière est essentielle. Pour cela, je propose des sacs de révisions de conjugaisons.

Mon astuce : proposer des sacs de révisions des conjugaisons

Notre époque regorge de petits exercices à faire en ligne, de sites proposant des activités… Mais pour des non-initiés, on peut vite se perdre dans les dédales pédagogiques. C’est pourquoi, afin de répondre au plus près à mes attentes, en lien avec les objectifs de l’éducation nationale mais aussi pour faciliter ce travail de recherche aux parents, j’ai créé des petits sacs de révisions des conjugaisons.

De quoi sont composés les sacs de révisions ?

Il y en a un pour chaque élève mais les sacs ne sont pas nominatifs. Ainsi, ils pourront être réutilisés les années suivantes. Les sacs de révisions peuvent contenir un format un peu plus grand qu’un A5 et des petits objets. Chaque sac comporte les mêmes outils selon son niveau CE1 ou CE2. Les premiers créés concernent la conjugaison. A l’intérieur s’y trouvent des puissances 3, des cocottes en papier, des mots fléchés, des coloriages magiques, etc. Je glisse également une liste du matériel qui s’y trouve et précise celui qui sera à retourner à l’école tout comme ce que l’élève pourra garder en sa possession. Les fiches de jeux à rendre sont quant à elles placées dans des petites pochettes transparentes sur lesquelles les élèves peuvent écrire avec un crayon effaçable à sec.

Les sacs de révisions : un moyen ludique pour réviser ses conjugaisons

Tous ces outils permettront à chacun de jouer pour réviser ses conjugaisons des verbes au présent de l’indicatif. Les week-ends passent vite et le temps des vacances est un temps pour se reposer et se retrouver en famille. Le jeu est un allié de taille pour rentrer dans les apprentissages ou les entretenir. Aussi, partager ses connaissances en famille et la sentir impliquée dans son travail le rendra plus intéressant pour l’enfant. Ces petits sacs de révision visent une amélioration de la mémorisation des conjugaisons. Ils seront suivis par d’autres dans différents domaines et viendront s’ajouter à la famille des “révisacs”.

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Travailler sa mémoire par le chant

Travailler sa mémoire par le chant

Nous avons tous des préférences pour mémoriser plus facilement. Plusieurs types de mémoire existent et les procédés de mémorisation peuvent être différents selon l’élément à retenir : un numéro de téléphone, une définition, un événement passé… Pour explorer le sujet de la mémoire, il est intéressant de lire des ouvrages tels que « Comprendre le cerveau de son enfant », écrit par Pascale Toscani.


Nous demandons tous les jours à nos élèves de réfléchir, se concentrer, mémoriser. Il est important de connaître les mécanismes qui sont en jeu lors de ces actions car l’on comprend alors combien il est important de proposer différentes situations d’apprentissage. Les élèves vont pouvoir éprouver leur capacité à mémoriser plus rapidement à l’école primaire notamment sur le long terme. En effet, on demande aux enfants de retenir les tables de multiplications, les leçons d’Histoire, les règles de grammaire, d’orthographe et de conjugaison… autant de bases qui leur serviront tout au long de leur scolarité et une fois sur le marché du travail.

Dans cet article je souhaiterais mettre en avant la musique pour apprendre. Non pas celle qui est mise en fond sonore mais celle qui permet de garder les mots de la leçon en tête.

Utiliser des comptines connues pour la mémoire

Chacun est apte à le faire, à créer que ce soit les parents ou les enseignants. Le premier conseil serait de choisir une chanson connue de la majorité et ayant un air répétitif.

Pour ce faire, prendre une comptine, une chanson enfantine est adaptée. Le répertoire français nous fournit un assez vaste choix. Aussi dans ma classe, nous chantons sur « Au clair de la lune », « Sur le pont d’Avignon » ou encore « Frère Jacques ».

On y adapte un texte faisant état de ce que nous sommes en train d’apprendre et nous chantons régulièrement nos apprentissages. Le principe de répétition dans les chansons permet d’ancrer au mieux les notions.

Impliquer les parents dans la méthode

Le deuxième conseil serait de transmettre cette chanson aux parents pour que cet outil soit une aide au travail personnel de l’enfant. Le confinement a permis ce développement de transmissions telles que l’utilisation de Youtube, de Padlet…

Pour conclure

Les recherches ont montré que chanter peut activer le circuit du plaisir et de la récompense. La musique des chansons enfantines fera écho aux moments partagés avec sa famille, sa fratrie, ses amis en classe…. Et rendra donc la mémorisation de la leçon mise en parole plus ludique et appréciée par nos petits chanteurs.

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Animal de compagnie : les bienfaits pour un enfant

Animal de compagnie : les bienfaits pour un enfant

Au cours de l’enfance, un certain nombre d’enfants réclament un animal de compagnie. Une réflexion évidente pour certains parents et une crainte pour d’autres, s’engager dans l’adoption de ce nouvel arrivant n’est pas une mince affaire et demande réflexion. De par son influence sur le développement social de l’enfant, son éducation et ses émotions, l’animal de compagnie va procurer de nombreux bienfaits aux tout-petits. Mais il ne faut pas non plus oublier qu’il s’agit d’un être vivant qu’on adopte pour la vie, il y a forcément des contraintes qui sont non négligeables. À travers cet article, nous vous donnons quelques clés pour aboutir au mieux à votre réflexion d’adoption et nous vous partageons les nombreux bienfaits d’un animal sur l’enfant.

Un animal de compagnie : une décision importante pour toute la famille

Adopter un animal de compagnie, ça se réfléchit

L’adoption d’un animal de compagnie nécessite un engagement fort. Il aura besoin de votre attention au quotidien, vous devrez vous occuper de lui et répondre à ses besoins tout au long de sa vie. Il est nécessaire de bien y réfléchir et d’en discuter de façon pragmatique avant de prendre une décision. Dans un premier temps, il est essentiel de s’interroger sur l’aspect financier, car un animal domestique engendre forcément différentes dépenses qu’il faut être prêt à assumer : coût initial de l’animal, alimentation, vétérinaire, soins…

Cet engagement se réfléchit sur le long terme, vous devez pouvoir vous projeter pour les années à venir avec ce compagnon. Ensuite, un chiot ou un chaton ne restera pas petit toute sa vie, il va forcément finir par prendre plus de place ! Pensez à vérifier le poids et la taille adulte de la race de l’animal que vous souhaitez adopter avant de vous engager. Un chien ou un chat partagera votre quotidien pour une durée entre 10 et 15 ans en moyenne. Il est également impératif de prévoir un mode de garde sûr, dans lequel votre animal se sentira bien pendant vos absences, que ce soit auprès d’un proche ou d’une pension animalière.

Enfin, la disparition de l’animal de compagnie est souvent le premier deuil que va devoir traverser Ptiloup. Cet aspect ne doit pas être mis de côté, vous devrez savoir comment l’aborder avec lui quand cette situation se présentera.

Certains points de vigilances avant le premier pas vers l’adoption

Votre futur animal de compagnie va être amené à partager le même espace de vie que vous. Il est donc aussi important de garder à l’esprit qu’il peut être à l’origine d’allergies chez les enfants. Alors si après son arrivée vous avez le moindre doute suite à des écoulements nasaux, des picotements aux yeux ou une toux à répétition chez votre enfant, n’hésitez pas à consulter un pédiatre ou allergologue. Ptiloup est peut être allergique à votre nouvelle petite boule de poils.

De plus, il est important de rappeler que Ptiloup ne doit jamais être laissé sans surveillance avec un animal. Même si votre adorable compagnon partage votre vie depuis des années, il reste un animal et de ce fait, est par nature imprévisible. Tout comme les gestes de votre enfant envers l’animal.

Il existe quelques gestes préventifs pour éviter les morsures :

  • Respecter les envies de son animal ; 
  • Ne pas le déranger quand il mange ou quand il dort ;
  • Ne pas le caresser brusquement ;
  • Ne pas lui piquer ses jouets ou son doudou préférés (attention à ne pas mélanger le pouik de votre enfant avec celui de votre animal ;)) ;
  • Expliquer à l’enfant qu’il ne doit pas taper l’animal, avoir des gestes brusques ou violents. S’il fait du mal à l’animal, l’animal pourrait lui rendre.

Les bienfaits d’un animal de compagnie sur un enfant

Un soutien émotionnel

L’enfant et son compagnon vont certainement vite tisser un lien d’attachement. Il peut très rapidement devenir le meilleur confident et partenaire de jeu de votre enfant (autrement dit, son meilleur ami pour la vie !). En général, la plupart des enfants qui interagissent avec un animal de compagnie y trouvent un soutien émotionnel. L’animal apporte de la joie, chasse la tristesse et la sensation d’insécurité. Finalement, l’animal fait partie de la famille, il resserre les liens entre ses membres et permet de partager des activités tous ensemble.

Apprendre l’autonomie et les responsabilités

S’occuper d’un animal de compagnie est l’un des meilleurs exercices pour apprendre à votre enfant à faire face à des responsabilités. Bien évidemment, elles sont à adapter selon l’âge de Ptiloup. Mais il peut participer dès son plus jeune âge, avec vous, à certaines tâches en lien avec son animal de compagnie :

  • Nourrir l’animal ;
  • Jouer avec lui ;
  • Participer à son nettoyage ;
  • Promener l’animal quand c’est possible ;
  • Nettoyer l’espace réservé à l’animal ;
  • Vous accompagner chez le vétérinaire, etc.

En grandissant, il pourra réaliser ces tâches sans votre aide, jusqu’à prendre en charge de façon autonome des responsabilités plus importantes, comme le promener, et ainsi créer une routine quotidienne dans laquelle Ptiloup s’implique pleinement auprès de son animal.

S’ouvrir aux autres à travers son animal de compagnie

L’attachement que l’enfant crée avec son animal de compagnie semble l’aider à créer des liens sociaux, avec d’autres enfants. Côtoyer un animal de compagnie permet à l’enfant de développer son empathie, il apprend à faire attention au comportement non verbal, à comprendre ce que ressent l’autre. Il s’intéresse à un autre être que lui-même et ne pourra que plus facilement entrer en contact avec les autres enfants.

C’est aussi un moyen, pour certains enfants timides, par exemple, d’entrer en communication avec les autres. Parler de son animal de compagnie est l’occasion d’aller à leur rencontre, d’avoir un sujet de conversation : il peut montrer des photos ou raconter les bêtises que celui-ci a fait par exemple.

Sans s’en rendre compte, votre compagnon contribue au développement social, éducatif et émotif de votre enfant.

Aider l’enfant à grandir

Certains Ptiloup éprouvent une vraie crainte face aux animaux. L’adoption d’un petit compagnon peut l’aider à surmonter sa peur tout en douceur. Mais en aucun cas il ne faudra imposer l’animal de compagnie à l’enfant.

Les apprentissages vont se faire de façon naturelle, grâce au contact régulier avec l’animal de compagnie. La présence d’une petite bête à la maison stimule la motricité globale de Bébé : il va vouloir suivre son animal lorsque celui-ci se déplace, il va également devoir maîtriser sa force et ses gestes au contact de l’animal. Même très jeune, Ptiloup cherchera très vite à interpeller cet animal qu’il côtoie. Quand il l’appelle ou quand il lui parle, l’enfant exerce aussi son langage.

N’hésitez pas à lui montrer comment il doit s’y prendre. Plus Bébé va grandir, plus il comprendra comment interagir avec son nouvel ami. Par exemple, son chat ou chien lui fera très vite comprendre qu’il ne veut pas être dérangé quand il mange, ou qu’on lui tire sur la queue.

En bref

L’arrivée d’un compagnon au sein de votre foyer favorise le développement et l’autonomie de votre enfant et lui apprend le sens des responsabilités. Cette décision doit être réfléchie et ne se prend pas à la légère. La famille doit choisir un animal qui correspond à ce qu’elle peut lui apporter. Un animal de compagnie n’est pas un jouet, mais bien un être vivant à part entière, être vivant dont nous devons prendre soin et qui, en retour, va pouvoir nous apporter tellement de bonheur ! N’oubliez pas que vous êtes toute sa vie, alors faites en sorte qu’elle soit la plus belle possible

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Jouets non genrés, à bas les stéréotypes !

Jouets non genrés, à bas les stéréotypes !

La plupart des jouets qu’on trouve dans le commerce sont conçus pour les garçons ou pour les filles, en rapport étroit avec les différents rôles qu’on attend d’eux.”

 

Elana Gianini Belotti, enseignante, pédagogue, militante et écrivaine italienne –

Encore aujourd’hui, difficile de parcourir les rayons jouets sans le remarquer : poupons joufflus, adorables dînettes et bijoux à paillettes sur fond rose et audacieux d’un côté, jeux de construction ou set de bricolage “comme les pros” sur aplat bleu de l’autre… Chez Wesco, pas de stéréotypes, chaque enfant est libre d’être ce qu’il veut et de choisir le jouet qu’il souhaite, vous savez celui qui fera pétiller ses yeux. On vous explique pourquoi dans cet article, tout en décryptant ces grandes questions d’actualité.

Stéréotypes, genre, identité… Quésaco ?

Fille ? Garçon ? Genre ? Quelques définitions

Le sexe d’un individu relève de la biologie : en résumé, ses chromosomes, ses gonades, ses hormones, et son anatomie. Sa détermination est aujourd’hui infiniment plus complexe que ces quatre critères, car la diversité et la variabilité du vivant sont très grandes.

 

Par exemple, l’intersexuation (le fait de ne pas correspondre biologiquement aux deux types principaux – féminin et masculin – de la majorité des humains) concernerait selon les chercheurs 1 à 2% de la population mondiale.

 

Le genre d’un individu (de l’anglais, gender), c’est ce que la société dicte comme relevant du féminin ou du masculin. Le genre serait ainsi une construction sociale.

 

L’identité de genre correspond à l’expérience intime de soi, le vécu identitaire propre à chacun.

 

Les études de genre aujourd’hui visent à repérer et analyser ce qui semble naturellement différent entre les hommes et les femmes, afin d’établir ce qui relève d’une construction sociale et ce qui relève d’une réelle différence biologique.

 

Les stéréotypes, quant à eux, sont des croyances partagées, des généralisations. D’un côté, ils facilitent notre lecture du monde et des individus car ils structurent nos pensées, de l’autre, ils nous conduisent souvent à commettre des erreurs de jugement. Nous y sommes tous soumis au quotidien, adultes autant qu’enfants.

 

Dire “les filles sont prédéterminées à aimer le rose et jouer à la poupée” et à l’inverse “les garçons à aimer le bleu et jouer à la bagarre”, ce sont des stéréotypes de genre.

 

Prendre conscience de nos stéréotypes derrière nos pensées et nos comportements, c’est le premier pas pour apprendre à s’en détacher.

Petit historique du genre en France

La mention homme/femme en France apparaît à l’état civil au XIXème siècle. Elle permet entre autres de prévenir les fraudes et de ne pas confondre deux individus (dans le cas d’homonymie, par exemple). Cet étiquetage des individus dans deux “boîtes”, cette double catégorisation hommes d’un côté et femmes de l’autre semble aujourd’hui le reflet d’une organisation sociale et sociétale (dé)passée.

Influence(s) du genre sur l’enfant

Les scientifiques s’accordent aujourd’hui à dire que dès 24 mois, les enfants sont capables d’identifier et différencier deux personnes de deux genres différents, et ont aussi une perception implicite de ce qui se rattache à chacun.e (activités, objets utilisés…). Ce schéma de ce qui constituerait une femme et un homme influence ensuite leurs comportements et leurs choix (y compris les choix de leurs jouets) : les enfants tendent, plus ou moins (in)consciemment selon leurs âges, à vouloir se conformer à ce qu’ils ont repéré comme étant leur catégorie d’appartenance.

Nos conseils pour éviter les stéréotypes de genre

En pratique : comment éviter les stéréotypes de genre ?

Notre premier conseil serait de vous poser la question : quels sont vos propres stéréotypes et préjugés ? En prendre conscience est la première étape pour apprendre à les déconstruire.

 

L’intégration inconsciente des stéréotypes de genre, présente dès 3-4 ans chez les enfants, peut être à leur égard génératrice de stress. Il est important que vous puissiez en parler ouvertement avec eux. Quel que soit l’âge des enfants, communiquez, expliquez, verbalisez les stéréotypes et le ressenti qu’ils en ont, et ne fermez surtout pas la discussion par peur de ne pas savoir répondre. Professionnel.le.s comme parents, vous êtes en droit de ne pas avoir la réponse immédiate à leurs questionnements (parfois farfelus) !

Favoriser la mixité dans les jeux… et les jouets

Proposer des jeux et jouets identifiés à un genre comme à l’autre, c’est leur donner l’autorisation implicite de s’y intéresser. Selon les âges et leurs intégrations respectives des stéréotypes de genre, certains enfants sont en effet plus enclins à rejeter des jeux ou jouets identifiés au genre masculin ou féminin. Les accompagner dans les jeux, sans jamais rien leur imposer, pour simplement stimuler leur créativité et leur imaginaire, sera aussi l’occasion pour les Ptiloups de réviser leur jugement du jeu en question. Si en fait on a le droit, et qu’en plus on peut se détacher des pratiques stéréotypées, il n’y a plus qu’à s’amuser tous ensemble.

Être attentif aux interactions des enfants

Plus ils grandissent, plus le comportement collectif des enfants est influencé par le renforcement des stéréotypes de genre. Cela ne reflète pas nécessairement les intentions individuelles, mais soyez attentifs : on explique, on communique, on fait exprimer les ressentis… Et on tentera, à l’image de la Suède et des pays scandinaves, de valoriser chaque enfant pour ce qu’il fait plutôt que pour ce qu’il est.

L’exemple de la “pédagogie neutre” en Suède

Il s’agit d’une approche pédagogique entièrement repensée, qui se veut éduquer et faire grandir les enfants hors de tout stéréotype de genre, en traitant chacun comme un être unique et non pas “juste” comme un petit garçon ou une petite fille. L’objectif n’est pas seulement une égalité des sexes, mais surtout de faire grandir les enfants dans une vision plus réaliste et nuancée du monde à tous les niveaux.

Et chez Wesco, qu’est-ce qu’on en pense des stéréotypes de genre ?

On parle ici de stéréotypes de genre, mais notre réponse s’appliquera à tous : chez Wesco, aucune place pour les stéréotypes. Depuis nos débuts, l’ouverture au monde est une de nos valeurs profondes. Nous sommes convaincus qu’un jouet n’est pas plus réservé à un garçon qu’à une fille, et qu’il peut être en plus un formidable vecteur de tolérance et de respect face à la diversité. Ce qui compte pour nous, c’est de mettre le bon jeu ou jouet entre les mains de tous les enfants, pour qu’ils se sentent simplement et profondément libres d’être qui ils souhaitent. Et pour qu’ils éveillent le monde 😉

En bref

Pour parler de stéréotype à votre enfant, n’hésitez pas à lui proposer cette courte vidéo :” 1 jour, 1 question : C’est quoi un stéréotype ? ” Comment cela se passe-t-il chez vous ? Encouragez-vous votre enfant à jouer aux jeux souvent identifiés à l’un et à l’autre genre ? Laissez-vous votre enfant s’identifier à ses pairs du sexe opposé ? Découvrez notre sélection de jeux et jouets très spéciale pour filles… et pour garçons 😉 !

 

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