Nous avons tous des préférences pour mémoriser plus facilement. Plusieurs types de mémoire existent et les procédés de mémorisation peuvent être différents selon l’élément à retenir : un numéro de téléphone, une définition, un événement passé… Pour explorer le sujet de la mémoire, il est intéressant de lire des ouvrages tels que « Comprendre le cerveau de son enfant », écrit par Pascale Toscani.
Nous demandons tous les jours à nos élèves de réfléchir, se concentrer, mémoriser. Il est important de connaître les mécanismes qui sont en jeu lors de ces actions car l’on comprend alors combien il est important de proposer différentes situations d’apprentissage. Les élèves vont pouvoir éprouver leur capacité à mémoriser plus rapidement à l’école primaire notamment sur le long terme. En effet, on demande aux enfants de retenir les tables de multiplications, les leçons d’Histoire, les règles de grammaire, d’orthographe et de conjugaison… autant de bases qui leur serviront tout au long de leur scolarité et une fois sur le marché du travail.
Dans cet article je souhaiterais mettre en avant la musique pour apprendre. Non pas celle qui est mise en fond sonore mais celle qui permet de garder les mots de la leçon en tête.
Utiliser des comptines connues pour la mémoire
Chacun est apte à le faire, à créer que ce soit les parents ou les enseignants. Le premier conseil serait de choisir une chanson connue de la majorité et ayant un air répétitif.
Pour ce faire, prendre une comptine, une chanson enfantine est adaptée. Le répertoire français nous fournit un assez vaste choix. Aussi dans ma classe, nous chantons sur « Au clair de la lune », « Sur le pont d’Avignon » ou encore « Frère Jacques ».
On y adapte un texte faisant état de ce que nous sommes en train d’apprendre et nous chantons régulièrement nos apprentissages. Le principe de répétition dans les chansons permet d’ancrer au mieux les notions.
Impliquer les parents dans la méthode
Le deuxième conseil serait de transmettre cette chanson aux parents pour que cet outil soit une aide au travail personnel de l’enfant. Le confinement a permis ce développement de transmissions telles que l’utilisation de Youtube, de Padlet…
Pour conclure
Les recherches ont montré que chanter peut activer le circuit du plaisir et de la récompense. La musique des chansons enfantines fera écho aux moments partagés avec sa famille, sa fratrie, ses amis en classe…. Et rendra donc la mémorisation de la leçon mise en parole plus ludique et appréciée par nos petits chanteurs.
Jeunes parents ou non, vous vous posez certainement la question de comment habiller votre tout-petit bébé qui vient juste de naître. Eté ou hiver, lorsqu’il fait chaud ou non, ce n’est pas toujours facile de se repérer. Vais-je trop le couvrir ? Va-t-il avoir trop chaud ou trop froid ? On vous dévoile ici quelques conseils et astuces pour habiller correctement Bébé.
Comment habiller Bébé selon la saison
Comment habiller Bébé en hiver ?
En hiver, pensez : j’habille Bébé comme moi avec une couche de vêtement en plus.
Un exemple pour le quotidien en hiver :
un body à manche longue,
un pull,
une salopette ou un pantalon (ou une robe et des collants),
des chaussettes (ou des collants si la tenue est une robe), (+ des chaussures si besoin mais non indispensable si Bébé ne marche pas encore, c’est surtout une question de style ou pour garder les pieds bien au chaud),
une combinaison en hiver pour se déplacer,
un bonnet qui couvre les oreilles,
des gants (si ceux-ci ne sont pas intégrés à la combinaison).
Si Bébé est souvent promené en poussette ou coque, n’hésitez pas à investir dans un nid d’ange spécial hiver si Bébé n’est pas déjà dans une combinaison. Cela lui permettra d’être toujours bien protégé du froid, surtout lorsqu’il ne bouge pas, comme c’est le cas en poussette. Sinon, une simple couverture ou un plaid fera aussi parfaitement l’affaire.
Comment habiller Bébé en été ?
En été, ne pensez pas que Bébé aura aussi chaud que vous dès sa naissance. Il ne faut pas oublier que dans le corps de sa maman, le nouveau-né a été habitué à baigner dans une température digne des tropiques : 37 degrés.
Habiller Bébé en été avant 6 mois :
En été, avant 6 mois, voici comment vous pouvez habiller votre tout-petit :
une salopette (ou un short),
un body,
un chapeau au cas où. Mais il ne faudra surtout pas exposer le nouveau-né au soleil.
Même si vous êtes tenté de laisser Bébé en couche, il est conseillé d’éviter cette méthode. Bébé ne sera pas forcément à l’aise d’être tout nu. Privilégiez un body fin en coton, au moins pour absorber la transpiration de Bébé et éviter ainsi les coups de froid lors de courants d’air. Bébé a encore du mal à réguler la température de son corps, il faut donc veiller à le garder à une bonne température corporelle, en évitant les variations de températures (attention aux courants d’air frais).
Habiller Bébé en été après 6 mois :
Pour un Bébé de plus de 6 mois, vous êtes un peu plus libre pour le choix des vêtements : body non obligatoire, privilégiez les robes, les shorts et les tee-shirts… Une tenue accompagnée de son chapeau ou de sa casquette ainsi que de lunettes de soleil adaptées lorsque le Bébé est amené à croiser le regard du soleil.
Niveau coloris pour les vêtements, faites place à la bonne humeur et favorisez des vêtements aux coloris clairs qui réfléchiront la lumière et la chaleur plutôt que de l’absorber.
Et pour sortir en été ?
Même si nous vous déconseillons d’exposer Bébé au soleil, en cas d’exposition par obligation, il vous faudra compléter la tenue de Bébé par quelques accessoires lors des sorties sous le soleil :
un chapeau ou une casquette adaptée à la taille de la tête de Bébé,
des lunettes de soleil avec un indice de protection 3 ou 4 ainsi qu’un marquage CE garantissant la bonne qualité du produit,
une crème solaire avec un indice 50 minimum.
Comment habiller Bébé la nuit, selon la température ?
Pour la nuit, voici un petit guide pour adapter la tenue mais aussi l’épaisseur (TOG) de la gigoteuse, selon la température de la pièce.
Toutes nos gigoteuses et turbulettes pour les temps de sommeil de Bébé
On choisit la facilité et le confort des vêtements de Bébé
Avant toute chose, et on ne le dira jamais assez, privilégiez le côté pratique, le confort et le respect de la peau de Bébé dans le choix des vêtements. Oubliez le bling-bling et les froufrous, vous aurez largement le temps de vous rattraper plus tard.
Des vêtements pratiques à enfiler
Lorsque Bébé vient de naître, préférez les vêtements qui s’ouvrent sur le devant. Cela vous évitera de devoir passer le body par la tête, en ayant peur de lui faire mal. Sinon, passez les vêtements par le visage, permettant ainsi à l’enfant d’avoir toujours les yeux sur vous.
Le confort de la tenue avant tout
Bébé ne marche pas encore, il lui faut donc des vêtements souples et confortables pour gesticuler. Évitez les matières trop serrées comme les jeans qui peuvent être très mignons mais serreront vite le petit ventre de bout’chou.
Toutefois, ne pensez pas que laisser Bébé dans son pyjama tout doux en pilou pilou est la solution. Le fait de changer Bébé la journée et l’habiller dans des vêtements de “jour” pourra lui permettre de faire la distinction petit à petit entre le jour et la nuit. Même si personne ne vous en voudra si vous souhaitez tout de même le laisser en pyjama 🙂
Le choix des matières
Privilégiez les matières naturelles pour la peau toute fragile de Bébé. Coton, lin, fibre de bambou, gaze de coton. La matière doit être douce et surtout respirante. Et, si vous le pouvez, favorisez les matières biologiques et surtout le coton bio.
Quelle taille de vêtements choisir pour Bébé ?
Dès la naissance de Bébé, choisissez des vêtements bébés en taille “naissance” ou taille 1 mois. Généralement la taille 1 mois sera la plus adaptée car votre bébé va grandir très vite et ne mettra que peu de temps les vêtements en taille naissance, (sauf si toutefois Bébé n’a pas un poids très élevé à la naissance). Nous vous conseillons de prendre du 1 mois et de retrousser les manches au début.
Ensuite, il faudra généralement doubler les tailles selon son âge. Par exemple, un Bébé de 1 mois mettra souvent du 3 mois, à 2 mois du 4 mois (taille 3-6 mois) etc… Jusqu’au 1 an de Bébé. Bien évidemment, cela n’est pas le cas pour tous les bébés.
Nous vous conseillons de ne pas acheter trop de vêtements de la même taille car Bébé peut vite grandir. Et de ne pas non plus acheter trop de vêtements avant la naissance car le poids de Bébé varie vite mais aussi les saisons. En achetant au fur et à mesure, vous pourrez ainsi mieux prévoir et vous adapter plus facilement.
En bref
Ce n’est pas toujours très simple de savoir comment habiller un Bébé. Qu’il fasse chaud ou froid, vous avez désormais quelques techniques pour repérer si Bébé est suffisamment couvert ou non. Ensuite, libre à vous d’adapter en fonction de la situation et de la météo.
Avant de commencer votre lecture, nous vous invitons à découvrir ou redécouvrir notre article sur la méditation de pleine conscience, une pratique laïque reconnue pour ses nombreux bienfaits sur les enfants.
À présent, place aux exercices ! Sur le Web, dans des livres ou même sur YouTube vous trouverez une multitude d’idées de jeux et d’exercices de méditation. Pour vous aider à faire le tri, découvrez notre top 5 des exercices de méditation de pleine conscience à faire avec les enfants, c’est parti !
Exercice de méditation N°1 : Quel temps fait-il à l’intérieur de toi ?
Si vous sentez Ptiloup agité, en colère, triste… Invitez-le à s’asseoir dans un endroit calme. Ensuite, une fois que l’enfant est dans une position qu’il trouve confortable, questionnez-le :
Quel temps fait-il à l’intérieur de toi ?
Que ressens-tu ?
Puis, guidez-le pas à pas dans la description de sa météo intérieure :
Que ressens-tu en toi en ce moment ?
Prends le temps de découvrir ta météo
Est-ce comme de l’orage ? De la pluie ? Du soleil ?
Qu’est-ce que tu observes ?
Quel chiffre pourrais-tu donner à cette pluie ?
Il ne faut surtout pas aller à l’encontre d’un orage ou d’une averse. Pour cela, expliquez-lui qu’il n’est pas possible de changer le temps à l’intérieur de soi immédiatement. Il faudra patienter pour que le temps évolue. C’est comme la météo de dehors qu’on ne peut pas changer.
Laissez-lui prendre du temps pour :
Faire de la respiration abdominale en se concentrant sur le mouvement de son ventre quand il expire et inspire ;
Comprendre l’émotion qu’il ressent ;
Comprendre l’émotion qu’il ressent ;
Les bienfaits de cet exercice :
Accueillir et comprendre ses émotions ;
Mettre des mots sur l’émotion qu’il ressent au moment présent.
Exercice de méditation N°2 : La fourmi
Pour cet exercice, invitez l’enfant à s’allonger confortablement sur un tapis. Ensuite, avec un ton le plus calme et doux possible, racontez l’histoire de la petite fourmi. Cette histoire est modifiable à l’infini, ajoutez autant de détails que vous souhaitez. L’objectif premier de cet exercice est de plonger l’enfant dans l’histoire. Téléchargez et découvrez l’histoire de la fourmi :
À la fin du récit, les enfants vont sans doute chercher la fourmi. Laissez-les échanger, discuter puis terminez l’exercice avec de la respiration abdominale.
Les bienfaits de cet exercice :
Se détendre en pleine conscience ;
Se concentrer sur le moment présent ;
Profiter du moment présent ;
Ralentir ses pensées.
Exercice de méditation N°3 : L’arbre
Pour cet exercice, il est préférable que tout le monde soit debout. Les enfants peuvent se mettre pieds nus s’ils le souhaitent. Avant de commencer, vérifiez si chaque enfant a suffisamment de place pour bouger ses bras. Ensuite, vous pourrez les guider avec les consignes suivantes :
Pliez légèrement les genoux en les déverrouillant. Gardez les bras souples. Votre dos, lui, est bien droit comme votre cou. Fermez doucement vos yeux, respirez profondément plusieurs fois.
Maintenant, ressentez le contact du sol sous vos pieds. Imaginez que vous êtes un arbre fort et solide.
Vos racines se déploient de vos pieds. Vous êtes de plus en plus stable et solide grâce à elles.
Vos jambes sont devenues le tronc de l’arbre, vos bras, les branches.
Remplissez vos poumons d’air tout doucement… Puis expirez lentement.
Ensuite, grandissez-vous avec vos bras en les levant vers le ciel. Ressentez le soleil réchauffer vos branches et vos feuilles. Vos bras peuvent se balancer comme des branches le feraient sous le vent.
Grâce à vos racines, vos branches et votre tronc vous vous sentez forts et solides et vous êtes prêts à affronter tous les obstacles : comme le vent, la pluie ou même l’orage.
Quand vous êtes prêts, baissez doucement vos bras et ouvrez les yeux.
Pour terminer l’exercice, les enfants pourront décrire ce qu’ils ont ressenti ou décrire l’arbre qu’ils sont.
Les bienfaits de cet exercice :
Développer sa confiance en soi ;
Échanger et écouter ses camarades ;
Se concentrer sur le moment présent ;
Profiter du moment présent ;
Ralentir ses pensées.
Exercice de méditation N°4 : Le Gobelet d’eau qui ralentit les pensées
Tout d’abord, créez un parcours de motricité avec des obstacles à franchir, remplissez un gobelet avec de l’eau puis suivez les étapes du jeu :
Donnez le gobelet à l’enfant.
Demandez-lui de se concentrer sur ce gobelet : sa forme et son poids.
Puis de respirer au moins 3 fois profondément sur le principe de la respiration abdominale.
Il peut maintenant suivre le parcours tout en gardant son attention sur le gobelet pour ne pas renverser l’eau.
Encouragez l’enfant au fur et à mesure de son parcours.
A la fin du parcours, invitez-le à poser le gobelet et à prendre trois grandes inspirations et expirations.
Finissez l’exercice en le questionnant :
A quoi as-tu pensé pendant le parcours ?
Est-ce que c’était difficile ?
As-tu apprécié ? etc
Astuce :
Vous pouvez réaliser ce parcours avec plusieurs variantes : les yeux bandés, avec un casque anti-bruit, pieds-nus, changer le gobelet d’eau par une cuillère de riz…
Les bienfaits de cet exercice :
Développer sa concentration ;
Ralentir ses pensées ;
Prendre conscience de son corps ;
Développer sa motricité.
Exercice de méditation N°5 : L’exercice du spaghetti
Dans cette vidéo, Eline Snel, autrice du livre « Calme et attentif comme une grenouille », nous apprend à prendre conscience de notre corps avec l’exercice du spaghetti. Elise Snel va guider l’enfant à détendre son corps pour devenir mou comme un spaghetti cuit.
Les bienfaits de cet exercice :
Prendre conscience de son corps ;
Se détendre en pleine conscience ;
Ralentir ses pensées.
En bref
Il existe une multitude d’exercices de méditation. Le plus difficile sera de choisir. Pour cela, testez-en le plus possible et choisissez ensuite avec Ptiloup vos préférés. Faites-vous confiance et ayez en tête qu’il n’existe pas d’exercices miracles ou plus bénéfiques.
À l’occasion de la Journée Internationale des Droits de l’Enfant le 20 novembre prochain, nous vous proposons de revenir dans cet article sur le contenu de la Convention Internationale des Droits de l’Enfant. Si tous les enfants dans le monde disposent des mêmes droits dès la naissance, un trop grand nombre est encore loin d’y avoir accès de manière égalitaire. Alors, si nous faisions le point ensemble ?
C’est quoi la Convention Internationale des Droits de l’Enfant ?
Parce que les enfants sont plus vulnérables que les adultes, parce qu’ils n’ont ni droit de vote ni influence politique ou économique, parce que le développement sain des enfants est crucial pour l’avenir de toute société : le monde s’est doté en 1989 de la Convention Internationale des Droits de l’Enfant.
UNICEF –
Ratifiée en 1989 par les membres des Nations Unies, la Convention Internationale des Droits de l’Enfant (également connue sous l’acronyme CIDE) est un texte international et officiel qui place les enfants (moins de 18 ans) comme des êtres à part entière disposant de droits fondamentaux, obligatoires et bien sûr non négociables. Ainsi, les enfants ont tous sans exception des droits sociaux, économiques, civils, culturels et politiques.
Posés sur le papier, ces droits obligent les États signataires à prendre les dispositions nécessaires pour garantir la bonne exécution de la CIDE. Ainsi, chaque année, depuis 1989, les États signataires et leurs représentants doivent rendre compte de leurs actions auprès du comité des droits de l’enfant des Nations Unies.
Pour la France, par exemple, c’est le Ministère des Solidarités et de la Santé qui est chargé de la protection de l’enfance et qui conduit un certain nombre d’actions : 119 Allo enfance en danger, réforme de l’enfance protégée (stratégie 2019-2022)… Enfin, à ce jour, 193 États ont ratifié le texte (à l’exception des États-Unis et de la Somalie).
Quels sont les droits présentés dans la CIDE ?
La Convention Internationale des Droits de l’Enfant recense 54 articles précisant les droits dont dispose chaque enfant, à savoir :
Avoir un nom, une nationalité et une identité ;
J’ai le droit d’être soigné, de manger à ma faim et de manière équilibrée ;
Aller à l’école ;
Être protégé de toute forme de violence, de maltraitance et d’exploitation ;
Ne pas subir de discrimination ;
Ne pas assister ou prendre part à des scènes de guerre ;
Avoir un refuge, être secouru et disposer de conditions de vie décentes ;
Jouer et choisir des loisirs en toute liberté ;
Le droit à la liberté d’information, d’expression et de participation ;
Pour résumer, la Convention Internationale des Droits de l’Enfant repose sur 4 principes fondamentaux :
la non-discrimination ;
la priorité donnée à l’intérêt supérieur de l’enfant ;
le droit de vivre, de survivre et de se développer ;
le respect des opinions de l’enfant.
Comment aborder le sujet du droit des enfants ?
À l’école, à la maison, lors d’une balade ou à l’occasion de l’arrivée d’une nouvelle famille dans le quartier… tous les moments sont propices pour lancer le sujet : “Est-ce que tu penses que les enfants ont des droits ? D’ailleurs, est-ce que tu sais ce que ça veut dire avoir des droits ?”. Par le jeu de questions/réponses, vous amorcerez une discussion autour de ce sujet civique particulièrement important.
Si nous manquons parfois de réponses facilement compréhensibles et adaptées à l’âge des enfants, voici quelques outils pédagogiques sur lesquels vous appuyer :
Livret d’activités : proposé par l’UNICEF, il permet aux enfants d’identifier leurs droits dans différentes situations du quotidien.
Le sujet est vaste et peut interroger votre enfant à différents moments de sa vie. Restez disponible et à l’écoute dès qu’il souhaitera en reparler. Vous pouvez aussi encourager sa parole et la prise de conscience de l’environnement qui l’entoure. Si votre enfant est témoin d’une situation qui l’interpelle, dites-lui qu’il peut s’exprimer auprès d’adultes référents comme ses parents, son professeur d’école… En somme, proposez-lui une oreille attentive !
En conclusion
La Convention Internationale des Droits de l’Enfant a permis d’améliorer l’accès aux soins et d’augmenter le taux de scolarisation des enfants dans certains pays. Pour autant, les efforts des États signataires doivent être continus pour qu’à l’avenir tous les enfants aient les mêmes chances. Et si nous prenions l’engagement à l’issue de la lecture de cet article d’en parler avec nos enfants et d’encourager leur curiosité citoyenne ? À vos débats animés… et respectueux !